par Michelle Simakowitch
ATTENTION : Ce texte ne défend pas le Gaullisme. Loin s'en faut ! Il s'agit d'un point de vue. De Gaulle est un traitre à la nation. Et Eric de Gaulle, son petit-fils, a un jugement complètement erroné. Il ne mentionne jamais la franc-maçonnerie et encore moins les super-loges. La superficialité de son jugement bat des records. Peut-il en être autrement ? À propos, n'est-ce pas de Gaulle qui a réhabilité la franc-maçonnerie après la 2e GM ? Bref, l'équivalent de de Gaulle en religion c'est Vatican 2. Les deux marchent ensemble. C'est la démocratie à tous les étages, la participation au mensonge du vote, un blasphème niant le fait que Notre Seigneur agit par miracle. Le fait de lire Eric de Gaulle atteste bien que le Gaullisme est un poison mortel. Nous publions à cet effet ce texte.
Pierre de Gaulle est né le 20 juin 1963. C'est le petit fils de Charles de Gaulle. Il est président de la fondation Pierre de Gaulle pour la paix, l'amitié et la concorde entre les peuples. Lors du sommet des BRICS à Kazan, il avait rencontré Poutine.
Pierre de Gaulle se bat pour faire jaillir la vérité au-delà de la propagande qualifiant Poutine de nazi, de fou de guerre, voulant envahir toute l'Europe.
Soyons sérieux une minute, combien de camps de concentrations ont été construits par la Russie sur le territoire de la Fédération de Russie pour y exterminer les Ukrainiens ? Si le peuple Ukrainien a si peur de leurs frères russes, pourquoi 80% des Ukrainiens qui ont fui la guerre en Ukraine, ont trouvé refuge en Russie ?
Mais penchons-nous un peu sur les propos de Pierre de Gaulle interviewé par une journaliste Russe (source TikTok @mediasentinelle52)
«Quand à Macro qui est face à la réalité des BRICS, il ne tient même pas son pays ni économiquement, ni en termes de sécurité. Et il n'a pas de programme. Il n'assure même pas le choix des Français, car il n'est pas légitime. La plupart des pays européens qui sont très agressifs avec la Russie : France en tête, Grande Bretagne en tête, et Allemagne en tête, ont des leaders qui ont une très très faible approbation de leur base. On parle de 11% pour Macron, 15% pour Störmer et 18% pour Merz. Ces leaders ne sont plus légitimes, n'ont pas de programme, n'ont pas de vision. Ils sont soumis à la technocratie. Ce sont d'ailleurs des technocrates». [Mais ont-ils déjà été élus, ou bien les élections ont-elles été truquées ?]
«Quelle est leur stratégie pour rester au pouvoir ? C'est d'être agressifs, de trouver des coupables. Ma foi la Russie est coupable de tout».
Mais comment comprendre cette escalade artificielle si bien orchestré ?
«Ce sont des élites, soi-disant élites, qui sont complétement déconnectés de la réalité et qui s'enferment dans un système de déni du monde qui les entoure, déni des populations qu'elles sont censées représentées et surtout du déni des réalités politiques et économiques. Tous les chefs d'État étrangers, les Hauts Responsables que j'ai pu moi-même rencontrés, que ce soit en Russie, ou auprès de pays arabes, en Chine ou des pays Africains, tous me disent mais qu'est-ce que vous faites, vous êtes devenus complétement fous. Et surtout ils sont frappés par le manque de connaissance, le manque de culture, le manque de connaissance des dossiers, le manque de connaissance des problèmes. Et malheureusement en France comme en Europe on fait face à une sorte d'élite intellectuelle, une sorte de caste de hauts fonctionnaires qui se renouvelle d'elle-même, qui est impunie, qui est non sanctionnée et qui sont les premiers responsables du malheur des Français, de la population européenne. Elles sont responsables de leur pauvreté, de leur insécurité parce qu'elles sont dans l'arrogance. Surtout c'est une population qui est inamovible qui freine toute idée de réforme, qui freine toute idée de progression politique, toute idée d'ouverture vis-à-vis des populations. Et ce sont à mon avis les premiers responsables. N'oublions pas non plus que la plupart des leaders Européens sont tous issus de ce programme de formation de la fondation Franco-Américaine, donc ce sont des mondialistes. Ils sont là pour détruire la souveraineté. Ils sont là pour la remplacer par leur propre système, leur propre règle, selon leur propre condition. Et tout ça est catastrophique. L'esprit de la Nation, l'histoire, la culture, tout cela est dissous. Les pays se dissolve dans une sorte de magma. Le «Général» de Gaulle disait que Dante, Goethe, Chateaubriand sont éminemment Européens parce qu'ils sont Allemands, parce qu'ils sont Italiens et parce qu'ils sont Français».
«Faut de façon très urgente rétablir la souveraineté et rétablir la souveraineté par le peuple. Le peuple est légitime pour choisir ses dirigeants, pour choisir ceux qui vont le représenter sur la scène internationale, pour choisir ceux qui vont diriger le pays, redresser les entreprises : lui redonner l'espoir, lui redonner l'envie de faire, lui redonner la fierté, lui redonner la grandeur. Je pense qu'on ne peut pas rétablir un équilibre à la fois en Europe, dans chaque pays et en France, si on ne redonne pas la légitimité de la souveraineté des Français. C'est à dire nécessairement passer par un renouvellement complet de cette technocratie qui nous paralyse et qui reste impunie. Vous avez l'exemple en France du vol des bijoux de Napoléon. Tout le monde se prête à dire ma foi c'est une catastrophe, c'est un vol national, les Français ont été violés dans leur trésor. Mais ce n'est pas grave, les systèmes de sécurité ont fonctionné, on a juste été volé. Ce qui se passe réellement c'est que ni les responsables du musée sont sanctionnés, ni les hauts fonctionnaires qui sont à la tête de ces musées-là, ni la ministre de la Culture qui se perd dans je ne sais quelles explications plus ou moins fumeuses. Ces élites sont impunies, elles se renouvellent d'elles-mêmes. Le président Macron lui-même en fait partie, et il est un exemple dramatique. Je pense que tout changement passe par un renouvellement de ces élites, une refonte même du système de responsabilité, il faut qu'elles soient rendues responsables».
«De même que la commission européenne, les commissaires européens doivent être tenus responsables. Il doit y avoir un retour à la légitimité à la souveraineté. Vis à vis de l'Europe je suis moi-même favorable à ce qu'il y ait une véritable crise institutionnelle. C'est à dire à ce que les états membres refusent ce qui est contraire à leurs intérêts nationaux parce que c'est une dictature. Mme von der Leyen a même créé un ministre de l'Information le 1 janvier 2024 et elle dit et applique ses directives du ministère. Tout ce qui n'est pas conforme aux valeurs européennes sera sanctionné. Il est grand temps de renouveler et de changer ces élites parce que sinon le système se renouvellera de lui-même comme c'est le cas de Macron et de toute sa clique. Les étrangers sont frappés comme je vous le disais par notre niveau d'incompétence, par notre arrogance et par notre mépris des différences de culture, d'ethnies. Finalement la société multi raciale française est très récente, elle n'a guère que 60 ans contrairement à la Russie».
«On parlait tout à l'heure de confrontation à la réalité tout à l'heure entre l'Europe et les BRICS. Les BRICS qui sont croissants, les BRICS qui réussissent et les BRICS qui sont un exemple naturel de réunification des peuples, des ethnies et des religions. Vous avez en Europe des leaders qui sont non légitimes. Ils doivent être remplacés, ils doivent démissionner. Le choix des peuples doit s'exprimer par référendum pour renouveler toutes ces élites. C'est par le peuple et uniquement par le peuple que le renouvellement peut s'effectuer».
«On assiste à des choses très graves parce que justement ces élites qui sont irresponsables. Ces élites ont même perdu toute notion de responsabilité intellectuelle car c'est de cela qu'il s'agit. Elles abandonnent les valeurs fondamentales de l'histoire, de la culture, de l'union des cultures, et vont vers l'agressivité. Et ils sont en train de mettre en danger à la fois leur propre population vis à vis de la sécurité de leur pays, de leur économie mais qui veulent provoquer une montée des périls vis à vis de la Russie en dénonçant la Russie coupable. Évidemment elle est coupable de tous les maux : «la Russie veut envahir l'Europe, la Russie veut envahir la France», ce qui est une stupidité, un non-sens. Il suffit pour cela de regarder une carte : est-ce que la Russie a besoin de territoire ? La Russie à la limite n'aurait pas besoin de l'Europe. L'Europe elle, a besoin de la Russie. Et bien ces gens-là n'hésitent pas à créer un sentiment de peur, d'insécurité très fort vis à vis des Français, à provoquer potentiellement une guerre avec même la Russie pour justifier le vide de leur politique, l'échec de leur politique : l'Europe est en faillite».
«L'Europe est en faillite et surtout l'Union européenne. Et je pense même que l'Union Fédéral des États-Unis d'Europe tel que le voulait Jean Monnet (mon grand-père appelait Jean Monnet le traite) est bien c'est un mensonge, c'est un supercherie. Et c'est un grand danger pour tous les pays Européens».
«L'engagement de la France en Ukraine devrait être soumis à un référendum, ce ne l'est pas. Lorsque Mr Macron accepte le budget qui a été imposé par Mme von der Leyen qui prévoit de dépenser 5% du produit intérieur brut en dépenses d'armement américaine, même pas française, pour les donner aux Ukrainiens, ces décisions-là devraient être soumises à l'approbation du peuple, elles ne le sont pas. Macron n'est tout simplement pas légitime ni Störmer, ni Merz. C'est le peuple qui doit être consulté, il faut redonner au peuple sa souveraineté, sa maturité notamment pour des questions aussi graves. Ensuite c'est totalement irréaliste : un engagement de troupes françaises, sous l'uniforme français en Ukraine qui se bat donc à travers l'OTAN interposé contre le Russie ce serait un engagement direct d'un des pays de l'Europe contre la Russie. Cela donnerait une dimension de troisième guerre mondiale instantanée. C'est une aberration, c'est une folie, je pense qu'ils sont totalement inconscients. Tout le monde sait qu'il y a des instructeurs étrangers depuis très longtemps en Ukraine. Tout le monde sait qu'il y a des missiles longue portée depuis très longtemps en Ukraine. 2000 hommes de troupe cela ne changera rien. C'est l'équivalent en une journée et demi des pertes Ukrainiennes. Cela ne changera pas le cours du conflit mais cela nous mettra en situation de grands danger».
«Tous ces gens-là qui sont illégitimes manient le danger d'une guerre avec la Russie, le risque d'une guerre : il y a même des kits de survie qui sont vendus ; pour cacher l'absurdité et l'échec de leur politique. Ces gens-là nous mettent en danger. Ces gens-là sont dangereux : ils devraient être automatiquement remplacés».
«Au sujet du remplacement de Macron en 2027. En France on vote souvent contre quelqu'un, jamais pour quelqu'un. Je pense que le système se nourrit de lui-même. Et c'est cette dynamique là qu'il faut absolument inverser. Il faut que les gens dans chaque pays soient conscients qu'ils sont prisonniers d'une technocratie, d'une soi-disant élite intellectuelle qui est impunie et qui se renouvelle. Je pense que si on doit traiter le problème profond, le problème à la racine : le président Macron est issu de la génération Mitterrand. Nous sommes actuellement en train de former des jeunes selon des critères de bien-être, d'écologie, d'irresponsabilité. Mes enfants sont au lycée Français à Barcelone. On donne des fiches sur l'esclavage, on donne des fiches sur Nelson Mandela, sur le racisme. Évidemment le racisme ne va que dans un seul sens : c'est de l'auto-flagellation. Où est le sentiment National ? Où sont les grands projets ? Et où est même la spiritualité qui est absolument essentielle et ça c'est très grave. Et je pense que l'Éducation national doit être refondée de fond en comble. Et je vais aller beaucoup plus loin sur la responsabilité des élites politiques au risque de choquer certains auditeurs. Au lycée Français de Barcelone, nous avons appris cela par la presse et en parlant aux parents d'élèves : il y a eu une dizaine des cas d'agressions sexuelles, de viols d'enfants qui ont été emmenés dans les toilettes par un moniteur. Nous sommes au contact direct avec les familles qui nous ont raconté toutes ces horreurs : c'est une cause nationale. Tous les gens qui ont été malheureusement confrontés à cela doivent s'unir. Je voudrais porter cette cause manifestement très très haut que le problème soit réglé car ce criminel est en liberté. Il a été mis en prison le premier juin 2023, et libéré trois semaines plus tard. Ca touche tous nos enfants, ça touche mes enfants : c'est une catastrophe. La Direction du lycée ne me répond pas. La direction du lycée est impunie, ça touche tout le monde. C'est une catastrophe et c'est un exemple dramatique de l'impunité des ces hauts fonctionnaires qui ne sont pas sanctionnés et qui restent en place».
«Les États-Unis continuent d'importer de l'uranium enrichi de la Russie alors qu'ils interdisent à l'Europe d'importer du gaz. Quelle est la souveraineté de la France aujourd'hui ? Si on analyse les choses : la France supporte un endettement direct de 3500 milliards d'euros, indirect avec la partie de la dette hors bilan de 8500 milliards d'euros. C'est à dire qu'elle est totalement dépendante des marchés financiers principalement anglo-saxon pour le refinancement. C'est à dire le jour où la France, portée par un vrai leader, voudra se réformer, automatiquement elle sera attaquée sur les marchés et elle verra les coût de sa dette augmenter. Automatiquement parce que ce sera un effet de sanction, un effet de punition, un effet financier. Quelle est la marge de manœuvre de la France sachant que le droit Français n'existe plus ? Qu'il est complétement écrasé par le droit européen. Quelle est la capacité de la France à changer, à se renouveler si vous avez un état fonctionnaire tout puissant qui intervient à tous les niveaux, qui est contrôlé à tous les niveaux, y compris la magistrature ? Vous ne pourriez pas le faire. Il faut véritablement un choc qui à mon sens viendra du peuple pour se débarrasser de ces soi-disant élites qui font tout sauf le bien du pays».
«Le président Macron prend ses consignes auprès de Donald Trump, prend ses consignes auprès de l'OTAN. Il me semble que dans toutes les actions qu'il a eu ne serait-ce que vis à vis de l'Ukraine, mais aussi vis à vis de la politique internationale, de la politique étrangère : c'est quand si le mot d'ordre qui lui était donné, était de détruire la souveraineté Française. De se fâcher avec tous les pays sauf ce qui sont soi-disant dans «l'axe du bien» : ceux qui sont prescrits par les Américains».
«Lorsqu'il y a eu des accords de paix potentiel entre le président Trump et le président Poutine, il a été question de faire un sommet Trump Poutine en Hongrie et bien la porte-parole de la commission européenne a dit «oui mais finalement Mr Poutine et ses représentants peuvent voyager librement en Europe» ce qui est en complète contradiction avec tout ce qui a été dit auparavant. Et Mr Macron qui commençait à être beaucoup plus ambiguë en faveur d'une possibilité d'un rapprochement avec Poutine et dès que ça se referme, il change. C'est dans toutes ses déclarations. Je pense qu'une des solutions, qu'une alternative plausible et une bonne alternative pour la France et les autres pays Européens, pour sortir de la technocratie bruxelloise serait de rejoindre les BRICS».
«Je souhaite que la France rejoigne les BRICS, je souhaite même qu'elle soit le premier pays Européen à rejoindre les BRICS, suivi de l'Italie, suivi de l'Allemagne. Parce que cela va imprimer une dynamique de changement très forte. Et surtout que les BRICS rassemblent naturellement des pays qui veulent se développer librement, sans tutelle, en choisissant librement leur partenaire c'est pour cela qu'elle n'est pas dominée par une institution centralisée. Évidemment il y a une banque de financement mais vous n'avez pas de banque centrale. Et c'est pour cela que la dynamique est si forte parce qu'elle réunit naturellement les peuples. C'est une chance pour la France et je souhaite que ce geste fort, ce geste salvateur soit fait le plus rapidement possible. C'est personnellement un de mes combats. Pourquoi les BRICS sont aussi intéressants ? Parce que tous ces pays défendent les valeurs fondamentales : de la foi, de la spiritualité. Ils défendent les valeurs fondamentales de la famille, de la Nation. Naturellement, regardez les pays Arabes : tous les Musulmans défendent la famille, défendent la foi, défendent la spiritualité, c'est même sacré chez eux. C'est pareil pour les juifs, c'est pareil pour les pays Africains. Et c'est pareil pour les pays d'Amérique latine qui défendent leurs traditions. La tradition, la culture : c'est l'identité d'un pays. Et la solution c'est l'union des cultures, ce sont les grands projets qui peuvent nous réunir ensemble au-delà des différences religieuses, au-delà des différences ethniques, au-delà des différences politiques».
«Je crois qu'il faut aller beaucoup plus loin que la politique : par exemple il faut faire des festivals de musiques sacrées. Il faut faire des festivals sur les grands-mères : les grands-mères sont des notions universelles, elles sont très respectées en Russie : les babouchka. Ce sont elles, les gardiennes de la tradition et de la famille. Il faut respecter les grands parents. Pourquoi ne parle-t-on pas de ces choses si fondamentales qui nous ont tenus si fortement ? Tout le monde derrière une nation, derrière un même idéal, derrière des traditions, pourquoi est-ce qu'on n'en parle plus de ça ? Je crois que c'est absolument indispensable d'avoir un retour à ces traditions, à ces valeurs fondamentales et je suis convaincu que les BRICS mais aussi le groupe de Shangaï et aussi d'autres grands groupes internationaux, des pays plus exactement, qui ont décidé de se regrouper pour travailler ensemble c'est une des clefs».
«Toute formation politique, tout mouvement qui vise à rétablir le Gaullisme en France, c'est à dire la souveraineté, c'est à dire la souveraineté du peuple est favorable, pour le reste je garde mon indépendance d'action, de parole et je n'envisage pas pour l'instant de rejoindre le moindre parti politique. Ça a toujours été ma ligne de conduite, après, dans le cadre d'un engagement national, si les Français m'appellent je serais être présent. Et je souhaite garder mon indépendance d'esprit. Le Gaullisme c'est l'indépendance. Ce n'est pas s'allier à un courant ou à un autre. C'est d'utiliser toutes les forces politiques, toutes les forces intellectuelles, toutes les forces économiques qui peuvent contribuer à rétablir la souveraineté et la grandeur de la France. Et ça ne se fera encore une fois que par le peuple et pas par les partis. Nous sommes actuellement dans un régime de parti c'est très exactement ce que mon grand-père a combattu et ce qui a fait la défaite de la France en 1940 : la quatrième république. C'est tout ce que mon grand-père a voulu éviter. Ça a abouti à la crise de 1958 parce que les gouvernements tenaient quelques mois. C'est exactement ce qui se passe aujourd'hui. Tout ça parce que le président ne prend pas la décision qui s'impose qui est de démissionner, laisser le choix du peuple s'exprimer. D'appliquer même ce choix du peuple et donc on aboutit à une France faible qui se cherche sachant que la compétition économique est toujours là. La France s'enfonce toujours un peu plus, le chômage augmente. Les faillites d'entreprise atteignent maintenant 65 000 par année. La dette de la France explose. Le poste en ce qui concerne uniquement les intérêts de la dette, je ne parle pas du remboursement du principal de la dette, c'est le principal le poste de remboursement de la France, c'est 70 milliards par an, pour l'instant. C'est une catastrophe».
«Le Gaullisme c'est le retour à la souveraineté. Et c'est le choix du peuple. C'est indispensable d'y arriver, c'est même urgent. ET ça ne peut se faire que par le choix des Français. Français qu'on étouffe, Français qu'on méprise. Français dont on ignore les problèmes, les choix et les inspirations».
«Je suis optimiste car je ne crois pas en cette folie de faire la guerre avec la Russie qui ne le souhaite en aucune manière. Évidemment car c'est une question de bon sens, c'est une question de logique et c'est dans l'intérêt de personne. Nous sommes unis par une très longue tradition de culture, de politique, d'affinité, d'échanges scientifiques, d'échanges éducatifs même entre nos deux pays. Nous avons un destin commun. Au chapitre 9 du deuxième tome de «de Gaulle, mon père», le tire de ce chapitre est «les Russes, ces Européens». Évidemment c'est l'Eurasie, c'est l'aigle bicéphale : un côté tournée vers l'Europe et l'autre vers l'Asie mais c'est indissociable. Nous sommes deux pays qui avons une amitié très longue. Des intérêts communs, c'est absolument indissociable. Ce n'est pas parce que vous avez une classe politique technocrate irresponsable et non légitime qui fait n'importe quoi que ça ira briser sur le très long terme l'amitié et le partenariat entre nos deux pays. Ce partenariat qu'a toujours défendu mon grand-père parce que pour lui c'est un impératif géographique de raison et de bon sens. C'était absolument incontestable et indiscutable. Dans le temps les faits l'ont montré. Là où Piotr Tolstoï a raison et je le rejoins, tant qu'on ne se sera pas débarrasser de cette élite, soi-disant élite politique, technocrate, impunie qui bloque le pays, qui se renouvelle et fait des choix dramatiques, on ne pourra pas retrouver un dialogue de partenariat. Car le dialogue existe toujours, il ne s'est jamais interrompu par les échanges scientifiques, par les échanges culturels par ceux qui ont du bon sens».
«Je pense qu'un des moyens de retrouver ce dialogue est de montrer aux Français, aux Européens qu'on leur ment sur la Russie, que la Russie ce n'est pas ça. Lorsqu'ils voyagent en Russie, ils découvrent un pays dynamique. Ils découvrent un pays où les restaurants sont ouverts 24h sur 24 y compris dans les petites villes. Ils découvrent un pays où on peut se faire livrer n'importe quoi dans la demi-heure jour et nuit. Ils découvrent un pays avec un taux de croissance de plus de 4%. Ils découvrent un pays où le vaccin contre le cancer est librement disponible avec une avancée technologique considérable. Surtout ils trouvent des gens qui sont extrêmement cultivés à tous les niveaux. Tous les gens sont instruits. Lors d'un de mes précédents voyages en Russie j'ai rencontré un très jeune bagagiste qui était même ukrainien et qui avait une parfaite connaissance de la politique internationale et de la politique Française. À trois ans les enfants apprennent à jour aux échecs. Ils ont le sens de la logique. Et surtout il faut montrer au monde entier que la Russie a une culture fantastique. Personne ne le conteste. Sur le système éducatif, l'éducation Russe est formidable. Elle est faite de devoir, de travail. Elle laisse une place libre au sport, bien sûr. J'ai visité trois écoles franco-russes à Moscou. C'est extraordinaire, vous avez des enfants qui se mettent sur l'estrade et qui chantent la Marseillaise, qui ont des prix nationaux, des prix fédéraux, des adolescents qui s'expriment parfaitement en Français, mais aussi en Allemand, mais aussi en Italien, qui ont des prix en mathématique. Tous sont fiers de leur nation, de leur patrie. Tous aiment la France, tous aiment la culture française. Tus sont fiers de la France ; Dans votre pays l'élite veulent apprendre le français. Pourquoi les Russes admirent Napoléon ? Car c'était un grand homme. Les Russes reconnaissent les Grands personnages qui ont fait l'histoire. La plus grande statue du Général de Gaule est à Moscou devant l'hôtel Cosmos. Le président Poutine a trois portraits dans son bureau dont celui du Général de Gaule. La Russie a un véritable amour pour la culture Française et c'est ça qui nous unit».
source : Pro Fide Catholica